Livraison de ce matin point de chagrin
A nouveau disponible mon roman d’anticipation : LE COMMERCE DES MOTS
Qu’on se le dise !
caroline.bordczyk@outlook.fr
A nouveau disponible mon roman d’anticipation : LE COMMERCE DES MOTS
Qu’on se le dise !
caroline.bordczyk@outlook.fr
Voilà j’ai relancé l’impression de mon roman d’anticipation :
LE COMMERCE DES MOTS
N’hésitez pas à me contacter ici si ce roman vous intéresse ou à caroline.bordczyk@outlook.fr
Déjà trois ans et ça brûle toujours autant !
Des critiques à visiter dans « retour avis des lecteurs » !
Il en reste encore deux, pour le commander : caroline.bordczyk@outlook.fr
LE COMMERCE DES MOTS
Roman d’anticipation sorti en mars 2017 :
Descriptifs, avis et lieux pour le commander à l’intérieur de ce blog !
Par mail on me dit que les jeunes se bougent pour le climat : bravo !
J’ai beaucoup beaucoup manifesté dans ma vie, ma plume a pris le relais… et on me demande ce que je fais, moi, pour le climat et bien j’ai écrit le COMMERCE DES MOTS ! Un roman d’anticipation sur le dérèglement climatique, sorti en mars 2017 et il y a des évènements, des révoltes que je narre en France en 2018… et la répression y est terrible… comme sur toute la planète… La suite dans le roman ! Pour les avis, cliquez sur retour-avis !
Disponible à la maison de la presse de Pujols et ici avec mon adresse mail ! Avis aux amateurs et amatrices !
LE COMMERCE DES MOTS
Le commerce des mots est une fiction intemporelle. C’est une fiction par la nature de son histoire qui est imaginaire mais intemporelle par le réalisme des situations qui y sont contées et des questions qu’elle soulève.
Je vous parlerais ni du noms des personnages ni des descriptions détaillées des différents lieux dans lesquels ils évoluent. L’appréciation de ces éléments dépendra des goûts de chaque lecteur. Mais j’aimerais par contre que l’on se penche sur les questions environnementales, sociales et économiques que cette histoire amène.
En effet dès les premières pages nous sommes mis face à une réalité extrêmement dérangeante. Je ne pense personnellement pas que l’on puisse lire Le Commerce des mots sans ressentir une profonde gène. Le lecteur est pris à témoin des différentes situations et ne peut que se demander « Et moi, qui serais-je dans cette même situation. » ou encore « Ah, je pense que j’aurais eu la même réaction que ce personnage ? » Ainsi dans cet imaginaire, la frontière entre le réel et l’irréel s’estompe. La rencontre entre l’irréel de la fiction et le réel du vécu du lecteur crée chez le lecteur un imaginaire. Un monde de questionnements qui continuera d’exister et de se développer dans son esprit même après qu’il aie tourné la dernière page de ce livre.
Cela nous renvoie à l’intemporalité de cette histoire. Ne serait-ce pas le but de toute lecture que de se questionner sur le sens des choses pendant et surtout après la lecture ?
Dans ce récit il est question de l’impact de l’humanité sur la planète et de notre devenir.
Notre planète… ce possessif me dérange aujourd’hui, devrais-je plutôt dire : « Dans ce récit il est question de l’impact de la planète Terre sur ses êtres humains et leur devenir ».
Et je crois que c’est en cette remise en question que je viens de faire que résident tout le talent et la virtuosité d’écriture dont fait preuve l’auteur dans ce roman.
Nous ne sommes que les locataires de cette magnifique planète et nous devons apprendre à vivre en collocation avec les autres espèces et nos semblables. Il est de notre devoir d’apprendre à écouter les lois et le sens de cette nature qui nous loge, voilà le prix de notre loyer.
Une ode éducative, une éloge à la tolérance, une interpellation à notre conscience individuelle et collective de nous-même et de ce que la terre a à nous offrir et une remise en question de nos sociétés ; le tout dans une atmosphère alarmante et oppressante où l’amour est le maître mot.
BREHMER Emmanuel
25/07/2018
21 ans
Villeneuve-sur-Lot
Dans mon roman « Le commerce des mots », sorti en mars 2017, j’aborde de nombreux thèmes à travers l’ébauche des interrogations de Céline sur son l’engagement de jeune écrivaine…
C’est une jeune trentenaire qui travaille pour une maison d’édition dans le monde des années 2035 où le dérèglement climatique dévaste la planète… Avec son cousin Fred, ils vont traverser le temps, la France et vivre avec deux nouveaux amis, une aventure mouvementée… où la résistance à la dictature n’est point absente, dans la force de leurs valeurs humanistes… où la rédemption fera son office…
Le gouvernement mondial a mis les pays sous tutelle, se servant du dérèglement climatique, il met les pays pauvres qui ne peuvent payer pour faite partie de ce gouvernement à l’amende… En plus des conditions climatiques qui assassinent leurs terres, des millions de gens sont contraints à immigrer et à travailler presque gratuitement dans les pays qui les accueillent à bras ouverts et les entassent dans les bas-fonds de notre pauvre terre qui gémit !
Les mots sont dévoyés, des lois liberticides sont mises en place au nom du respect de la planète ! La dictature des mots accompagnent la dictature des puissants…
Disponible à anelabougresse@orange.fr
A Villeneuve sur Lot, à la maison de la presse Le Vizir et à Pujols à la maison de la presse Jako !
Ce titre ne fut pas choisi au hasard, il y a bien sûr plusieurs raisons, je vous en livre une, du pourquoi du comment, à travers ces quelques passages. Jean-Charles-Edouard a monté sa propre maison d’éditions : Chapitre 4, de la première partie
Quelle mouche a piqué l’éditeur de Mourir d’Amour ? Ce roman qui a fait pleurer une majorité de femmes et a reçu le prix de la Féminité Encrée. Cette œuvre vendue en numérique à treize millions et six cent mille exemplaires à travers le monde dans les années 2020 qui a rivalisé et envoyé au tapis l’autre grande maison d’éditions, fleuron de la littérature sentimentale : A l’heure du thé….
Jean Charles Édouard revient en salle de réunion avec un manuscrit à la main et vocifère, fier : « Vous êtes des idiotes des imbéciles, mesdames les responsables du marketing. Il était temps que je mette mon nez ici, pour vous parler du pays ! Les hommes et les femmes ne se rencontrent plus, le virtuel a remplacé le réel, tous ont peur des virus, les maladies infectieuses se sont multipliées, mon test du baiser sain s’est vendu tous les mois à dix millions d’exemplaires, (il a des actions dans les laboratoires qui les créent). Le partage n’existe pratiquement plus, chacun vit chez soi. Le taux de natalité frise le niveau zéro, Il faut s’adapter à cette réalité.
…
Là, il donne ses conseils à découvrir dans le livre…
Aller encore un petit passage
Il est clair que Jean Charles Édouard ne cherche ni à rompre les règles sociales ni les codes de quoi que se soit. Il s’adapte à la réalité du terrain, à ce qui se vend le mieux. Si demain le sexe faible devient le sexe fort, il ira dans ce sens. Ce n’est pas un souci pour lui. Ce qui est essentiel, c’est que sa fortune se maintienne au plus haut niveau.
Quoi quoi c’est sa liberté de penser ! Quant à celle des autres ce n’est pas son souci. Oui certes il n’y a pas beaucoup de choix sous les yeux des lectrices, mais bon il ne faut pas exagérer, il ne met pas un pistolet sur la tempe des acheteuses. Ses romans ne les lobotomisent pas. Il en a assez que la littérature sentimentale passe pour une sous culture pour névrosées, car il les nourrit ces lectrices, de cette belle liberté de rêver. Il remplit le sac à dos de la ménagère qui survit et peut rêver, par ses soins, dans un monde si hostile. Voilà son combat, qui oserait dire que ce n’est pas un noble combat ?
JOSEPH TOQUET
ÉCHOS D’ÉCOLOGIE (sur Google)
Orwell n’est pas loin quand on plonge dans l’univers « fiction » que Victoryne Moqkeuz nous fait vivre.
J’en parle ici (collection Échos D’écologie) parce le thème écologie est aussi un des principaux moteurs de ce roman. Vous y verrez un capitalisme à l’oeuvre qui vous rappellera quelque chose de déjà connu, quelque chose d’absurde, cruel, pourtant déjà à l’oeuvre aujourd’hui.
Le tout reste d’une facilité déconcertante à lire, fluide et agréable, sans effet de style pour accrocher le lecteur. C’est le roman d’une aventure. L’écrivaine a laissé de côté ses armes favorites (qu’elle utilise quotidiennement sur son blog) pour écrire en douceur une poésie de la vie (ça m’a vraiment surpris).
Bravo à l’auteure.
Merci beaucoup Joseph