Quand faut y aller…
Je puis dire sans mentir que je suis bien dans l’écriture de mon dernier roman qui sera le final de ma collection : les voyageuses sol-air ; une trentaine de pages est en piste ! C’est sûr que mon rendement n’a plus rien à voir avec les années passées où j’étais scotchée sur papier et ordi… pendant des heures faisant des journées… Comme on dit faut s’adapter à ses possibilités ! Sans compter qu’il ne faut pas se mélanger les pinceaux avec tous ces mondes… Ce besoin de final me fait penser quand j’ai ressenti le besoin d’écrire mon livre sur le patriarcat, c’était un besoin viscéral, je savais qu’il fallait que je l’écrive pour passer à autre chose… La démangeaison est tenace… Sur ce, bon dimanche..